Orthosonie I

La singularité au coeur du champ de cohérence de l’Orthosonie

Voie directe de l’incarnation du changement de paradigme

Le processus de découvrement menant à la perception de la note singulière de l’orthosonie s’est accompli grâce à un faisceau de résonances au sein de son champ de cohérence, tout le long de l’existence.

Les Flèches ci-dessous, permettant de se repérer dans ce faisceau de résonances, se réfèrent chacune à un champ spécifique de connaissances. Bien évidemment il y a une multitude de façons non seulement de résonner à elles, mais aussi de les métaboliser, de les symboliser, et de les incarner.

Concernant l’approche orthosonique, l’impact de chacune de ces connaissances, leurs synergies, les permutations de leurs synergies ont généré, ont révélé un champ de cohérence qui peu à peu s’est ordonné consciemment.

 

Chaque thème abordé sur le site, est et sera l’expression locale d’une combinatoire spécifique de ce champ de cohérence.

Le texte : « approche orthosonique de la Singularité » écrit en aout 2018, est augmenté ici par des textes satellites signalés par une icône, le faisceau de résonances génère une constellation de résonances spécifiques

Approche Orthosonique de la singularité

La singularité est la signature vibratoire qui préside à la cohérence du champ par lequel chaque être se manifeste de façon unique, en interaction naturelle avec tous les règnes, avec la totalité.

Elle assure le continuum entre l’implicite et l’explicite,

Elle assure le continuum entre l’inconditionné et le conditionné,

Elle assure le continuum entre l’informé et le formé,

Elle assure le continuum entre l’espace multidimensionnel et notre inscription dans l’espace-temps quadridimensionnel…

Pierre angulaire de notre appartenance fondamentale au principe UN primordial, c’est elle qui nous mène vers l’éveil de la perception réelle de l’interconnexion universelle. C’est par elle que s’accomplissent les rectifications nécessaires, au sein de nos organismes, c’est par elle que se répercute et se distribue la puissance informationnelle permettant la mutation actuelle. Cela se fait au prix de décompensations structurelles.

Même si celles-ci sont éprouvantes, elles se révèlent, dans le temps, libératrices car, en opérant peu à peu la défragmentation du regard, s’éveille, en chaque organisme, non seulement la reconnaissance de la réalité des champs morphiques, mais aussi la possibilité plus profonde de percevoir l’œuvre du son de l’Akasha au cœur de l’intelligence du vivant. La conscience énergie déconstruit les images mentales erronées, la circulation de l’énergie s’intensifie tout devient plus vivant. Tout notre organisme s’assainit, les mémoires stagnantes se dissolvent, l’accès à l’information novatrice devient disponible.

Pour favoriser ce processus d’incarnation du changement de paradigme, nous sommes chacun, ensemble, collectivement invités à prendre le temps de la résonance.

En suivant l’onde de propagation de la Conscience à travers nos impressions, nous découvrons peu à peu ce que la science a découvert. Nous devenons conscients de notre propre constitution. Ce qui change totalement notre rapport au monde, et la portée de nos actions dans le monde.

L’organisation de notre substance biologique est le fruit d’un long processus complexe de la nature, il a commencé avec le big bang.

 Jusqu’à la fin du 19ème/début 20ème l’humanité a expérimenté sa condition en étant ignorante de sa propre constitution. Cette ignorance est la cause la plus profonde de la souffrance (les quatre Nobles Vérités du Bouddha).

 

Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas.

Lao Tseu

En science singularité et état critique coexistent. Lorsque l’état critique se manifeste dans un système établi, c’est le moment où une poussée de l’In-connu se produit, poussée venant de la profondeur des champs sur laquelle nous n’avons aucun pouvoir de contrôle. L’imprédictibilité du monde quantique s’étend alors au monde des formes organisées. Dans l’ancien paradigme nous avons été formatés pour dominer, maitriser, contrôler. Nous avons cru, avec beaucoup d’ignorance, que nous étions au sommet de la pyramide, nous sentons tous confusément que c’est terminé.

Sentir est une chose, reconnaître et s’incliner autre chose. Sans l’éveil en chacun et ensemble de la perception de la présence de champs transformateurs, de champs créateurs, sans l’éveil de la perception que nous sommes ces champs, s’incliner peut sembler impossible. La déferlante morbide de prévisions paranoïaques sur le futur, les constats d’impuissance teintée de culpabilisation réfléchie en miroir sans fin, en sont les signes. Si nous passons en dessous de cette onde-masse toxique, nous percevons une onde puissante, vibrante, qui soulève, restitue et libère en même temps. Cette onde informationnelle ensemence chaque élément de la terre avec équanimité. La présence d’un pouvoir nouveau et efficace de l’Énergie-Conscience, s’éveille en chacun spécifiquement.

A nous de nous retourner vers ce Pouvoir de la Nature, à nous de faire alliance avec lui. A nous de vivre ce chemin de découvrement avec autant d’’humilité que de détermination. La beauté de cette onde c’est que pour la première fois dans l’histoire de la terre et de l’humanité elle se propage de façon tangible par toutes nos singularités, elle nous invite à œuvrer ensemble tout à fait autrement, sans stratégie, sans séduction, sans concession, sans ingérence mutuelle, elle nous invite à découvrir la splendeur de l’éveil de la Terre par ses règnes. Nous sommes au tout début de ce processus, au fil des générations à venir, il apparaîtra comme étant de plus en plus naturel.

 Unicité

Notre unicité est inscrite biologiquement dans notre cellule souche, au niveau macromoléculaire (ADN et code génétique). La cellule est saine lorsqu’elle maintient la capacité de traiter le flux informationnel avec lequel elle est en permanence en interaction, et de le métaboliser en respectant ce pour quoi elle est. Son champ unique est en interaction avec les champs de toutes les autres cellules, formant ainsi des tissus qui forment les organes eux même formant des organismes etc….

Unicité et multiplicité coexistent naturellement, indissociablement.

Notre singularité est inscrite en deçà et au-delà de notre biologie.

 Trou noir, trou de ver :

Extrait de La physique de la conscience de Philippe Guillemant

Trou de ver : déformation locale de l’espace-temps commençant en trou noir et continuant en tunnel qui débouche sur une autre région de l’espace-temps, voire dans un autre univers. Ce tunnel se termine en trou blanc (dans lequel aucune lumière ne peut entrer). Il aurait pour particularité de proposer un raccourci permettant de se déplacer très rapidement d’un point à l’autre de l’univers, mais aussi d’un point à l’autre du temps.

Trou noir : déformation locale de l’espace- temps engendrée par une accumulation de matière dont le champ gravitationnel est si intense qu’il engendre une implosion (les forces de cohésion de la matière ne résistent plus à la pression) et empêche même la lumière de s’en échapper. À la différence d’un trou de ver, un trou noir ne forme pas un tunnel mais s’amenuise en son centre en singularité où la distorsion de l’espace est telle que le temps finit par s’arrêter. Au niveau de cette singularité, les lois de la physique changent complètement et deviennent celles de la gravité ou du vide quantique.

On parle de « singularité », car certaines valeurs deviennent infinies, comme la durée elle-même.

Extrait des agendas de Mère, mise en résonance avec l’expérience orthosonique

« Je descendais comme dans une faille entre deux rochers, abrupte, des rochers qui seraient faits de quelque chose de plus dur que du basalte. C’était comme sans fin et sans fond et ça allait en s’amincissant : de plus en plus étroit comme dans un entonnoir. Et le fond était invisible : un trou noir. Et ça descendait, sans air, sans lumière…suffocant. Et c’est comme si j’avais touché un ressort que je n’avais pas vu mais qui agit instantanément avec une puissance formidable, et d’un seul coup m’a fait jaillir, m’a projetée hors de cette faille, dans une immensité sans limites, sans forme. Et c’était tout puissant, d’une richesse infinie, comme si cette immensité était faite d’innombrables imperceptibles points qui n’occupent pas de place dans l’espace – d’un or chaud foncé. Et tout cela était absolument vivant, vivant d’une puissance qui paraissait infinie. Et pourtant immobile. Une immobilité parfaite, mais avec une intensité de mouvement et de vie incroyable ! Et c’était dans une vie… innombrable, au point que l’on ne peut pas dire autrement qu’infinie, d’une façon imagée. Et une intensité avec une puissance, une force, et une paix, la paix d’une éternité. Un silence, un calme. Un pouvoir capable de tout… »

Pour la première fois Mère expérimentait dans sa descente dans le corps et par le corps la réalité du champ quantique.

Lorsque cela commence dans un corps cela ne s’arrête plus, cela ne fait que se préciser, s’intensifier, se différencier et surtout s’ordonner. La perception du Réel devient physique. Nous sommes au cœur de l’incarnation du changement de paradigme. Pendant que la recherche scientifique avance dans le processus de grande réunification, des êtres anonymes, silencieusement poursuivent cette percée de la matière par la voie directe naturelle du corps. Les méditations perdent tout caractère transcendantal, nous sommes dans le micro, le nano et plus encore. Se déploie alors la perception sensible de la nature du vivant. L’intelligence (non mentale) est présente et manifeste dans chaque niveau d’organisation de notre biologie. Dans les premiers modèles de la pyramide de la complexité, bien avant la pénétration de la constitution de l’atome, la discontinuité entre les niveaux d’organisation était puissamment établie : l’atome était considéré comme la brique élémentaire de la matière, et la cellule comme la brique du vivant. Même si ces formes pensées perdurent dans l’inconscient collectif et le comportement de l’humain dans le monde des apparences, cela a complètement changé, dans les dimensions plus profondes et plus subtiles de nos organismes.

Nous sommes collectivement face à cette mutation planétaire, de façon concrète et physique. Tout le monde est d’accord pour dire que les structures de nos institutions deviennent obsolètes, mais tout le monde n’a pas encore réalisé que cela se joue au cœur de notre biologie, au cœur de nos atomes, au cœur de nos cellules, au cœur du vivant. La proposition Trans humaniste cherche, à sa façon, à résoudre l’emprise de la flèche du temps par un pouvoir technologique, qui n’est pas forcément soutenue par la Conscience au service du juste. La voie naturelle est conditionnée par la Conscience de l’univers, conscience non réflexive libre de la notion d’urgence, qui respecte la complexité et s’incline devant le mystère. C’est un chemin de découvrement, de défragmentation, qui nous inscrit dans la vérité du champ de la terre où tout est interconnecté. La perception du continuum se rétablit, nous réalisons peu à peu que nous contribuons tous réellement au grand œuvre.

 Akasha

Définition de l’Akasha extraite du glossaire théosophique : L’essence subtile super sensorielle et spirituelle qui pénètre tout l’espace ; la substance primordiale identifiée à tort avec l’Ether. Mais elle est à l’Ether ce que l’Esprit est à la Matière ou Atma au Kâma-rûpa. En fait, c’est l’Espace Universel dans lequel réside, inhérent, l’Idéation éternelle de l’Univers dans ses aspects toujours changeants sur les plans de matière et d’objectivité, et d’où rayonne le Premier Logos, ou pensée exprimée. C’est pourquoi il est dit que l’Akâśa n’a qu’un seul attribut, le son, car le son n’est que le symbole traduit du Logos « le langage » dans son sens mystique.

Dans l’expérience orthosonique, le son akashique a commencé à être perçu très subtilement, après des années de pratique intense d’un mode de méditation centrée sur l’écoute physique de la constitution de la substance. Il se manifestait à partir du vide quantique.

C’est ainsi que peu à peu la perception s’est éveillée. Devenir le témoin conscient de la présence du son créateur et formateur, écouter son enseignement, découvrir comment il rectifiait directement l’empreinte des formes pensées erronées dans le champ cellulaire, comment il ensemençait ce même champ d’énergie et d’information permettant sa mutation, devenait la seule exigence de la force de vie.